Sofia Mestari

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Sofia MestariSofia Mestari vient tout juste de sortir son quatrième album « A la croisée des chemins ». Après un concert au Réservoir le 24 Mai dernier pour la présentation de celui-ci, nous avons eu la chance de rencontrer cette artiste talentueuse. Interview.

Coulissesmédias : Après « On aura le ciel » en 2000, « En plein coeur de la nuit » en 2003, « La vie en entier » en 2008, tu reviens aujourd’hui avec ton quatrième album « A la croisée des chemins ». Comment te sens-tu ?

Sofia Mestari : Je suis très heureuse, même si je continuais à faire des petites dates, la sortie de ce nouvel album m’a permis de remonter sur une scène parisienne. Pour moi, la finalité de ce métier, c’est de faire de la scène.

Coulissesmédias : Tu as travaillé avec les équipes de Jean-Jacques Goldman et de Florent Pagny notamment, comment ça s’est passé ?

Sofia Mestari : Effectivement, j’ai travaillé avec une équipe exceptionnelle, des gens formidables. On a eu de vrais échanges, des supers moments de créations et de vraies discussions par rapport aux thématiques que je voulais pour cet album. Même si je n’ai pas signé les textes, je trouve que les auteurs ont su parfaitement reproduire ce que je désirais. Les musiciens aussi sont de grandes pointures et je suis fière d’avoir travaillé avec eux. Ils m’ont d’ailleurs déjà accompagné sur scène, je compte garder cette formation pour les prochains concerts.

Coulissesmédias : Pourquoi l’avoir appelé ainsi ?

Sofia Mestari : Dans chaque album, je mets un point d’honneur à avoir des arrangements orientaux pour faire un clin d’oeil à mes origines. Pour « A la croisée des chemins », j’ai travaillé avec Amir Ali, une personne adorable et sensible. Le titre s’est choisi naturellement car à la croisée de mes chemins (rires), j’ai rencontré une nouvelle équipe formidable qui m’a aidé à réaliser cet album. Ils m’ont aidé à me dépasser, à aller plus loin et faire tomber quelques masques afin que je puisse me regarder dans la glace et être en accord avec moi-même. Je croise les doigts pour qu’on aille le plus loin possible  avec, si Dieu veut évidemment.

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