Michal se met à nu pour vous présenter Self Concept

Lire l'interview

Révélé par la saison 3 de la Star Académy, auteur-compositeur-interprète, Michal est aujourd’hui producteur. Il revient sur le devant de la scène avec son nouveau projet baptisé « Self Concept ». Après 2 albums et un parcours remarqué entre la France et la Pologne, Michal vous invite à le découvrir comme vous ne l’avez jamais vu. Avec beaucoup de gentillesse et de franchise, mais surtout très heureux. Michal est l’invité de Coulissesmédias, il vous présente « Self Concept » !

Coulissesmédias : Après « De l’or et des poussières » en 2004 et « All alone with my gueule » en 2007, tu reviens aujourd’hui avec un nouveau projet « Self Concept ». De quoi s’agit-il ?

Self-Concept : Le projet est né le jour où j’ai monté mon propre label du même nom pour me produire. Je me suis séparé d’Universal et j’ai pris la décision de créer ce label et de composer mes nouvelles chansons. Je voulais repartir de zéro et faire table rase du passé mais sans rien renier. J’avais envie de m’amuser et de vivre une nouvelle aventure avec un nouveau pseudo et plus de visuels, des choses que je ne pouvais pas me permettre avant.

D’où t’est venu ce nouveau nom « Self Concept » ?

C’est le titre d’une chanson que je trouvais très proche de là où je voulais me diriger avec ce projet. « Self Concept », c’est la recherche de soi-même, de la direction dans laquelle on veut aller dans la vie. Cette chanson correspondait totalement à cette période de ma vie où j’ai beaucoup créé.

Tu n’as pas peur que ton public soit un peu perdu et qu’il ne te suive pas dans ce projet ?

Oui et non … Ça peut arriver mais je voulais vraiment rester fidèle à mes envies du moment sans penser aux autres. Je voulais avant tout me faire plaisir et me lancer des défis. Et je dois avouer que tout ça est très excitant ! (rires)

Pourquoi chanter en anglais seulement ?

Cela s’est décidé durant la phase de composition, ça sonnait mieux en anglais et je ne peux pas te l’expliquer mais j’avais plus de facilité à écrire dans cette langue. Comme il sera disponible dans le monde en digital et c’est la première fois donc je suis très content. Il était naturel que je chante en anglais. De la promo est aussi prévue en Allemagne et en Russie.

Les quotas radio représentent un handicap pour toi ?

Pour la première fois, j’ai travaillé sans penser aux radios. C’est le petit luxe que je me suis offert pour ce nouvel album. Je n’ai plus les mêmes objectifs qu’à mes débuts, on m’a toujours dit que si je ne passais pas en radio, ça ne marcherait pas pour moi. Aujourd’hui, ce n’est plus tellement vrai : un artiste peut exister sans le support des radios.

Lire l'interview