Fille de la comédienne Pascale Petit et du poète Giani Esposito, Bojidarka, surnommée Douchka, née le 26 juin 1963 à Saint-Cloud, entre dans le milieu du spectacle dès son plus jeune âge.
Ambassadrice de la firme Walt Disney Company à l’âge de 19 ans, Douchka triomphe et ses albums se vendent à des milliers d’exemplaires. Après plusieurs années de succès et de très belles rencontres : François Mitterand, Lino Ventura, Jacques Chirac, Daniel Balavoine, Mylène farmer, Roy Disney, Jermaine Jackson, ou encore Dalida … elle décide de tout quitter en 1990 pour devenir maman.
Malheureusement ce bonheur s’envole très vite et c’est la dégringolade. Dépression, solitude, errances, puis expulsion de son domicile … Douchka perd tout !
Aujourd’hui, elle revient sur le devant de la scène pour le plus grand plaisir du public qui ne l’avait jamais oublié. Après un nouvel album en 2009, « Bojidarka » (toujours disponible) et plusieurs concerts, voici sa première autobiographie « Mes ailes brûlées » (Editons du Rocher). Douchka a retrouvé un équilibre et ce livre composé de 16 chapitres, vous racontera tout sur son parcours de ses débuts à aujourd’hui.
Un très beau témoignage rempli d’émotions, car il n’y a pas de langue de bois et tout est dit avec courage et sincérité !
Site officiel : http://www.douchkaesposito.com/
Vincent KHENG
Si Douchka m’était contée…`
Il serait bon que Douchka cesse de se poser en victime depuis tant d’années et de se moquer du monde en travestissant la vérité au delà de toute vraisemblance. Dans son livre autobiographique parut dernièrement, et qui déjà suscite diverses révélations troublantes. En 1981, Mémé Ibach (producteur de Karen Chéryl et beau-père de Douchka) signe un contrat d’exclusivité de 10 ans à une jeune chanteuse lyonnaise de 16 ans , qu’il avait auditionnée et engagée immédiatement pour chanter pour les enfants.Douchka et sa mère ont demandé à cette jeune fille de chanter une chanson, cette jeune chanteuse ne l’avait pas encore terminé que Douchka s’est écriée « maman, je veux faire comme elle, je veux chanter comme elle! » Douchka et sa mère ont profité de la crédulité et de la naïveté de cette jeune artiste qui croyait tant en son métier et qu’on a voulu mettre sous l’éteignoir, pour éviter que cela ne nuise aux propres intérêts de Douchka, qui en fait s’est tout simplement appropriée une place, qui ne lui convenait pas et surtout ne lui appartenait pas.
LETTRE OUVERTE À BOJIDARKA ESPOSITO DITE « DOUCHKA »
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DROIT DE REPONSE A L’USURPATRICE
Si DOUCHKA m’était contée… ce serait l’histoire d’une imposture honteuse.
J’ai été purement et simplement évincée, sans explication, d’un contrat, signé voici 30 ans avec la Société DISQUES IBACH, pour une durée de 10 ans et portant sur des chansons pour enfants, la Walt Disney Cie ayant donné son approbation.
Il se trouve que mon producteur, Mémé Ibach, était le « beau-père » de Douchka, compagnon de longue date de sa mère. Les pressions alors exercées par la mère de Douchka auprès de son amant pour mettre sa fille à ma place ont eu raison de mon contrat -Douchka a fini par prendre ma place- et de toute ma vie artistique, brisée en éclats alors qu’elle s’annonçait brillante.
La parution, en Avril 2011 du « livre » de Douchka, qui me cite nominalement et sans autorisation, a ravivé la douleur dont j’ai mis des décennies à me débarrasser. Outre que cet ouvrage est truffé d’inexactitudes, pour ne pas dire plus, il me semble que les plaintes, doléances et les malheurs de cette pauvre dame, une « usurpatrice » caractérisée, ne sont que la conséquence d’une suite ininterrompue d’erreurs et d’échecs de sa part.
Cette manipulation honteuse m’a causé un préjudice moral irréparable, j’avais à peine 16 ans. Ma vie artistique commençait ainsi par une blessure inguérissable : déception, désillusion, amertume, sentiment de trahison, c’est lourd pour la jeune fille que j’étais, pleine de rêves et d’espoirs dans ce contrat. C’est Mémé Ibach qui est venu me chercher à Lyon pour me proposer ce contrat. Mes parents et moi avons été terrassés par ce revirement sans raison valable.
Vous comprendrez de ce fait que je m’inscrive en faux contre les allégations pleureuses et mensongères d’une « chanteuse » au talent plus que douteux (la suite l’a confirmé). Douchka se positionne en victime (car cela fait vendre) mais elle a pris une place qui ne lui revenait pas et qu’elle n’a pas méritée. Sa descente aux enfers et sa déchéance artistique, dont son « livre » est le triste et navrant récit, montrent qu’elle n’a même pas su profiter, par ses mauvais choix et mauvaises décisions, de la chance insolente qu’elle a eue. Je n’ai pas l’intention de laisser passer cette offense supplémentaire et j’aimerais que l’on puisse m’entendre, à mon tour, de façon contradictoire, comme témoin « privilégié ».
Françoise Gabrielle GAUME