Matthieu Delormeau : « Je ne triche pas »

Les anges de la téléréalité 4 sont de retour  à Hawaï avec pour objectifs de signer le contrat de leur vie et récolter des fonds pour une association. Une nouveauté qui risque de créer beaucoup plus de tensions ! Les 12 anges y laisseront t-il des plumes ? Réponse dans les nouveaux épisodes diffusés depuis le 16 avril sur NRJ12.

Coulissesmédias : Comment vas-tu ?

Matthieu Delormeau : Très  bien, très heureux que les anges reprennent, la saison 3 a bien marché et la 4ème va être un carton, honnêtement.

Coulissesmédias : Comment travailles-tu tes émissions ? Tu es proche des candidats ?

Matthieu Delormeau : Je m’occupe surtout de la partie plateau et cette année on voulait pas mal de nouveautés, de nouveaux chroniqueurs pour apporter une ambiance différente afin d’évoluer. Donc, nous allons avoir avec nous, cette fois-ci : Loana, Benoît, Ayem, Caroline Receveur… Et, je suis en contact avec  tous les anges pour avoir toutes les infos.

Coulissesmédias :  Tu arrives à prendre toujours autant de plaisir ?

Matthieu Delormeau : Oui  parce que  c’est une émission que j’aime autant regarder que préparer…

Coulissesmédias : Comment est Matthieu Delormeau dans la vie ?

Matthieu Delormeau : Je suis le même sur le plateau que dans la vie ! Est-ce une force ou une faiblesse ? Je ne sais pas. En tout cas, je ne triche pas. Quand je suis touché, ça se voit et quand je suis énervé ça se voit aussi, je ne joue pas un rôle ! D’ailleurs, quand j’ai commencé ce métier, je me suis dit « je vais être moi même comme ça si ça ne marche pas, je n’aurais aucun regret ».

Coulissesmédias : Tu pourrais quitter NRJ12 pour une autre chaîne ?

Matthieu Delormeau : Comme toujours, je discute un peu, je prends des déjeuners histoire de rencontrer des gens mais je ne peux pas vous mentir : je suis tellement gâté sur NRJ12 avec une hebdo, avec « Tellement vrai », ma quotidienne et puis, je produis. Qui pourrait m’offrir autant maintenant ? Je serais toutefois extrêmement flatté si une grande chaîne me téléphonait pour discuter.

Entretien de Romain Canot.
Photos : Mickaël Komer