Semaine spéciale Saint-Valentin sur Coulissesmédias. Notre équipe est allée à la rencontre des couples des morning radio. Un homme, une femme, deux micros et de l’amour distillé tous les matins.
Aujourd’hui, zoom sur Nostalgie avec Laurent Petitguillaume et Myriam Callas. Ces deux-là se connaissent depuis des années mais ne se retrouvent tous les matins que depuis la rentrée de septembre dernier. La bonne humeur est toujours au rendez-vous entre eux et avec leur équipe, leurs enfants, Régis le réalisateur et Benoît, l’enfant des bois.
Malgré la différence d’âge, ils sont sur la même longueur d’onde ! « On dirait les Bogdanoff, elle commence une phrase, je la finis ! » blague l’animateur.
Pour lui, la Saint-Valentin, « quand on est amoureux, c’est tous les jours ! (rires). Je ne fais pas partie du clan des vieux grincheux qui disent « ouais, c’est une fête commerciale, y a pas besoin de ça, c’est comme Noël, on est obligé d’acheter des cadeaux ! » Mais on n’est obligé de rien dans la vie ! En même temps, c’est tellement mignon, c’est la fête des amoureux, si on peut, en plus, développer ça à travers de l’amitié, j’suis très peace and love. C’est la fête de l’amour universel… » Myriam, elle, en reste sans voix « Je ne rajoute rien, c’est magnifique ce que tu dis… C’est pour ça que je l’aime… »
Six mois de matinale, six mois de lune de miel. Pas encore de routine installée mais quelques habitudes tout de même : « on a notre petit restau d’amour à côté ! » Et surtout, pas de dispute ! Ce que regrette un peu Myriam « J’aimerais bien pourtant, ça met du piment dans un couple… Parce qu’après, y a la réconciliation… musicale ! ». Leur chanson d’amour préférée ? : « Je l’aime à mourir », version Cabrel. Et « Dieu que Myriam était jolie » ironise Petit guillaume.
Et puis, bien sûr, il y a ces petites attentions qui changent tout. Des petits cadeaux que Laurent offre à sa chère et tendre. Des livres, un DVD de cuisine… Dans un éclat de rire, l’animateur nous explique que ce sont des trucs qu’il reçoit et dont il ne veut pas !
Un duo qui fonctionne bien. Et ça, selon eux, c’est grâce à leur naturel. « On se raconte des petites anecdotes, même quand le micro est ouvert, aucune blague n’est écrite ou préparée à l’avance… Tout simplement parce que c’est la vie ! Pour faire une bonne radio, il faut parler comme dans la vie, comme avec les gens qui nous entourent. »
Aurélie De Faria.
Photos : Mickaël Komer.
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