Les Friandises de l’été : The Strain

On en parle peu mais pourtant, ces séries sont vraiment un bonheur à suivre. Petit focus sur une série qui mérite le détour pour peu que vous aimiez son genre…

Genèse :

The Strain est née de l’imagination débordante – et parfois tordue il faut bien l’avouer – de Guillermo Del Toro à qui l’on doit Le Labyrinthe de Pan, Hellboy ou encore Pacific Rim. La série se base sur des romans écrits par le cinéaste et son ami, Chuck Hogan en 2006 après que son idée de série horrifique a été refusée par les chaînes à qui il avait proposé le projet.

Ironie du sort, sur conseil d’un de ses agents, il se lance dans l’écriture avec Hogan et la trilogie The Strain fait un tabac . Dès lors, Del Toro est encore plus sûr que le projet ferait un tabac à la télé. Il se remet donc à la recherceh d’une chaîne et bingo ! FX donne son feu vert pour une première saison de 13 épisodes…

Sypnosis :

The Strain raconte comment un groupe de personnes se retrouve lié après qu’un invasion « vampiresque » se soit emparée du monde. l’histoire commence quand un avion cesse toute communication avec la tour de contrôle de l’aéroport JFK à New York. Depêchés sur les lieux, l’épidémiologiste, Ephraïm Goodweather, et la chimiste, Nora Martinez constatent que sur les 210 personnes présentes dans l’avion, seules quatre ont survécu. Pourquoi ? Comment ? Que s’est-il passé dans la carlingue ? Les deux scientifiques ne sont pas au bout de leurs surprise car bientôt, ils vont comprendre que dans la soute, un maître vampire de plusieurs siècles se cachait dans une caisse qui recèle de secrets.

Pourquoi on regarde ?

Pour une fois, la série n’est ni policière, ni médicale, ni romantique. On est dans de l’horreur : les vampires sont violents, sans cœur et sans possible retour à un état normal. Les gens corrompus sont partout et les (anti) héros de cette série ont bien des fêlures et des habitudes qui ne vont bien sûr pas les aider dans leur quête. Au menu, des scènes assez gore, des malédictions et des coups de théâtre.