Le gallois Rod Thomas évolue sous le nom de Bright Light Bright Light en proposant des titres électro pop qui nous rappellent certains sons des années 80-90. Michal Kwiatkowski nous révélait d’ailleurs dans son interview pour Coulissesmédias aimer énormément cet artiste.
Difficile de se faire un nom dans la multitude d’artistes qui entrevoient de percer dans la niche dans laquelle semble vouloir évoluer Rod Thomas. Et pourtant, après plusieurs essais peu concluants, le titre « Disco Moment » sort son épingle du jeu fin 2011. Sorte de ballade électro pop, ce titre nous rappelle des sons tout droit venus des années 80-90. Porté par un clip étrange aux personnages en tête de télés, l’image n’en est pas moins soignée et marque le début d’un quelque chose pour Bright Light Bright Light.
« Disco Moment » est un petit succès sur le Net et permet à Rod Thomas d’entrevoir la sortie de son premier album. Signé chez Aztec Records, un label indépendant, c’est en juin 2012 que voit le jour son premier opus « Make Me Believe in Hope ». Le piano côtoie des sons aux beats enflammés dans des morceaux qui mêlent dance, ballades et pop acidulée. Le single « Feel It », très efficace, se voit affublé d’un clip cheap ouvertement assumé que je vous laisse découvrir.
Cet été, un an après la parution de son album, Bright Light Bright Light décide de continuer l’exploitation de son disque avec la ballade « Grace ». Un choix judicieux qui permet de faire découvrir une autre facette de cet album. C’est dans un clip épuré au paysage automnal que Rod Thomas décide d’illustrer cette chanson. Un peu facile, mais ça fonctionne !
Devant le succès rencontré outre-manche, une nouvelle édition de l’album est sortie en juin dernier, incluant désormais 20 pistes et baptisé « Make Me Believe in Hope (The New Patch) ».
Ludovic Le Strat
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